Pissing for Profit in the Pacific - Geo-engineers prepare to pollute Philippine Seas as International Ocean Dumping Body Meets
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March 5, 2010
As governments meet in London today to discuss whether the high seas should be used for largescale iron dumping by companies promising a quick-fix for climate change, one private company is rushing ahead with a new ocean dumping scheme in Southeast Asia – this time with urea. Civil society groups have learned that Ocean Nourishment Corporation (ONC) of Sydney, Australia has been given a “go signal” by the Philippines government to experimentally dump hundreds of tonnes of industrially-produced urea, most likely into the Sulu Sea between Philippines and Borneo.
London Convention Puts Brakes on Ocean Geoengineering
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In a shot across the bows of geoengineering companies, the London Convention (the International Maritime Organization body that oversees dumping of wastes at sea) today unanimously endorsed a scientific statement of concern on ocean fertilisation and declared its intention to develop international regulations to oversee the controversial activities. It further advised states that such large-scale schemes are “currently not justified.”
Reunión de la FAO
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Los secuestradores del planeta desde arriba, llaman a una gobernanza desde abajo
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Si bien la mayoría de los científicos salieron de la cumbre de Copenhague sobre el clima sintiéndose frustrados, un pequeño grupo de defensores de la geoingeniería emergió gustoso por el débil resultado de la reunión y por la incertidumbre del rumbo a seguir. Estos científicos buscan proseguir con la investigación y la experimentación de las controvertidas tecnologías de geoingeniería. Están especialmente excitados por el “manejo de radiación solar” (SRM, por sus siglas en inglés), una forma de enfriar al planeta reflejando una parte de los rayos solares de vuelta hacia el espacio exterior, mediante una variedad de técnicas que van desde colocar pantallas en el espacio, a los aerosoles de sulfato o el blanqueamiento de nubes. Estos esquemas de alto riesgo de alteración planetaria inciden en el calentamiento global sin cambiar su origen, que es el exceso de gases de efecto invernadero en la atmósfera.
Les partisans de la géoingénierie préconisent l’expérimentation de technologies à haut risque
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Si la plupart des scientifiques ont quitté la Conférence de Copenhague sur le climat plutôt déprimés quant à la force de leur influence, un petit groupe de défenseurs de la géoingénierie en sont sortis enhardis par l’absence de résultats et l’incertitude qui en découle face à l’avenir. Ce groupe de scientifiques souhaite procéder à des recherches et à des expérimentations sur des technologies de géoingénierie controversées, et la « gestion du rayonnement solaire » (GRS) suscite chez eux un réel enthousiasme. La GRS est un type d’intervention permettant de « faire baisser le thermostat de la planète » en réfléchissant une portion des rayons solaires dans l’espace, au moyen d’une variété de techniques allant du déploiement d’écrans parasols dans l’espace à l’injection d’aérosols à base de sulfates dans la stratosphère, en passant par le blanchissement des nuages. Ces interventions très risquées pouvant altérer la planète auraient pour effet d’influer sur le réchauffement climatique sans pour autant s’attaquer à sa cause, qui est la concentration excessive de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.