Corruption des systèmes alimentaires
Soumis par Laura Dunn le
Les mauvais sommets sur les systèmes alimentaires
Soumis par Laura Dunn le
Les mauvais sommets sur les systèmes alimentaires
Soumis par Veronica Villa le
Le réseau alimentaire paysan nourrit 70 % de la population mondiale avec seulement 25 % des ressources?
Chaque dollar que nous payons pour la nourriture produite par la chaîne industrielle nous coûte deux dollars supplémentaires pour réparer les dommages qu’elle cause?
Soumis par Veronica Villa le
Ce compte-rendu Trop lourd pour nous alimenter a été élaboré par le Groupe ETC, en collaboration avec l’IPES-Food (Panel international d’experts sur les systèmes alimentaires durables). Il résume le rapport (available here) publié par l’IPES-Food en octobre 2017, qui propose des informations supplémentaires et une analyse plus détaillée de l’impact des acquisitions dans le secteur agroalimentaire.
Soumis par Trudi Zundel le
What’s the role of synthetic biology in our food system and how does it relate to “climate-smart” agriculture? What are the costs and risks?
Available to watch at http://www.synbiowatch.org/2016/07/outsmarting-nature-webinar/
Soumis par Joëlle Deschambault le
Plusieurs des plus grandes entreprises agro-industrielles de la planète mettent de l’avant l’idée peu développée de l’agriculture intelligente face au climat (AIC) afin de redorer le blason de l’agriculture industrielle et lui donner le qualificatif d’industrie “adaptée au climat”. Ce rapport dévoile la façon dont certains promoteurs de l’AIC adoptent les outils associés à la manipulation génétique extrême appelé biologie synthétique afin de développer un ensemble de fausses solutions à la crise climatique.
Soumis par Joana Chelo le
Soumis par Joëlle Deschambault le
La face cachée des systèmes alimentaires. Il y a environ cinquante ans, lors du premier Sommet mondial de l’alimentation qui s’est tenu en juin 1963, les Nations unies se sont fait dire que « Nous avons les moyens et la capacité d’éradiquer la faim et la pauvreté de la surface de la Terre de notre vivant – tout ce qu’il nous manque, c’est la volonté de le faire. » Depuis lors, cette phrase est devenue le mantra de tous les sommets de l’alimentation. Les gouvernements n’ont toutefois qu’une connaissance très partielle en ce qui concerne l’approvisionnement et la consommation d’aliments. Cette réalité est d’ailleurs apparue horriblement évidente en 2007, alors que les gouvernements n’ont pas été en mesure de reconnaître qu’une crise alimentaire mondiale se dessinait à l’horizon.
Soumis par ETC Staff le
A ideia de “uma grande transformação tecnológica verde” que possibilita uma “economia verde” está sendo amplamente promovida como a chave para a sobrevivência do nosso planeta. O objetivo final é substituir a extração e refino de petróleo pela transformação da biomassa. Quem vai controlar a futura economia verde?
Neste documento conjunto, a Fundação Heinrich Böll e o Grupo ETC mostram quem são os novos ‘senhores da biomassa’ e argumentam que, na ausência de uma governança efetiva e socialmente responsável, a economia verde irá perpetuar a economia da ganância.
Soumis par ETC Staff le
Alors que les gouvernements s’apprêtent à consacrer l’Économie verte lors du Sommet Rio+20, ETC Group présente une réévaluation du pouvoir des entreprises et émet un avertissement selon lequel la course pour le contrôle de la biomasse perpétuera plutôt une économie motivée par la cupidité.
La perspective d’une grande transformation technologique débouchant sur une économie verte est largement diffusée à titre de clé de la survie de notre planète. L’idée maîtresse consiste à substituer l’exploitation de la biomasse (cultures alimentaires et textiles, herbacées, résidus forestiers, huiles végétales, algues, etc.) à l’extraction du pétrole.
Dans ce rapport traitant du pouvoir des entreprises, ETC Group soutient qu’en l’absence d’une gouvernance qui soit efficace et socialement responsable et d’une supervision gouvernementale, l’économie de la biomasse se soldera par une dégradation environnementale accrue, une perte de biodiversité inégalée et la disparition des biens communs qui subsistent.
Soumis par ETC Group le
Dr. Rajendra K. Pachauri
Président du GIEC
a/s Organisation météorologique mondiale
CH- 1211 Genève 2, Suisse
Soumis par ETC Group le
Ce rapport donne à voir le nouveau « plan B » en matière climatique pour ce qu’il est réellement : une stratégie politique permettant aux pays industrialisés de se défiler et d’éviter de rembourser leur dette climatique. Qu’il s’agisse d’ajuster le thermostat terrestre ou de modifier l’équilibre chimique de nos océans, ces solutions technologiques représentent une menace pour les populations et pour la planète. Le rapport propose un survol des antécédents historiques de ces interventions, ainsi que des fondements scientifiques et des intérêts qui sous-tendent le développement rapide de ces nouvelles technologies et des enjeux qu’elles soulèvent en matière de gouvernance internationale.
Soumis par ETC Staff le
Ce numéro spécial réalisé en collaboration avec l’ETC Group se propose d’interroger à travers un ensemble d’articles les prodigieuses avancées des bio et nanotechnologies et leurs conséquences néfastes pour le continent africain et le Sud en général. Firoze Manji et Molly Kane soulignent l’ampleur de ce « tsunami technologique » et l’immensité du défi qu’il implique pour l’autodétermination de l’Afrique et pour les militants en lutte contre l’assaut des grandes entreprises sur la biosouveraineté.
Soumis par ETC Staff le
Si la plupart des scientifiques ont quitté la Conférence de Copenhague sur le climat plutôt déprimés quant à la force de leur influence, un petit groupe de défenseurs de la géoingénierie en sont sortis enhardis par l’absence de résultats et l’incertitude qui en découle face à l’avenir. Ce groupe de scientifiques souhaite procéder à des recherches et à des expérimentations sur des technologies de géoingénierie controversées, et la « gestion du rayonnement solaire » (GRS) suscite chez eux un réel enthousiasme. La GRS est un type d’intervention permettant de « faire baisser le thermostat de la planète » en réfléchissant une portion des rayons solaires dans l’espace, au moyen d’une variété de techniques allant du déploiement d’écrans parasols dans l’espace à l’injection d’aérosols à base de sulfates dans la stratosphère, en passant par le blanchissement des nuages. Ces interventions très risquées pouvant altérer la planète auraient pour effet d’influer sur le réchauffement climatique sans pour autant s’attaquer à sa cause, qui est la concentration excessive de gaz à effet de serre dans l’atmosphère.
Soumis par ETC Staff le
Le transfert de technologies constitue l’un des quatre principaux sujets qui seront discutés à Copenhague dans le cadre des négociations sur les actions de coopération à long terme (les trois autres étant l’atténuation, l’adaptation et le financement). Le texte de négociation intergouvernemental qui fait l’objet de discussions envisage diverses mesures visant à accélérer la diffusion des technologies.
Soumis par ETC Staff le
Il y a trente ans, l’humanité avait un problème; la science avait une obsession; et l’industrie tenait une occasion. Notre problème était l’injustice. Les rangs des affamés ne cessaient de grossir et les rangs des agriculteurs, de s’affaiblir. De son côté, la science était obsédée par la biotechnologie – la possibilité de modifier génétiquement les cultures et le bétail (et l’être humain) pour les doter de traits qui allaient régler tous nos problèmes. L’industrie agroalimentaire tenait l’occasion de prélever l’énorme valeur ajoutée tout au long de la chaîne alimentaire. Le système alimentaire décentralisé à l’extrême offrait des occasions de profit qui ne demandaient qu’à être centralisées. Il suffisait de convaincre l’État que la révolution génétique de la biotech pouvait régler la faim dans le monde sans nuire à l’environnement. La biotechnologie était bien trop risquée pour être confiée à la petite entreprise et bien trop chère pour la recherche publique! Pour que le monde puisse profiter des bienfaits de cette technologie, les sélectionneurs publics devaient cesser de concurrencer les sélectionneurs privés et les autorités réglementaires devaient fermer les yeux quand les gros fabricants de pesticides achetaient des semencières qui, à leur tour, achetaient d’autres semencières.
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Soumis par ETC Staff le
Parce que les États n’ont pas su gouverner, les grandes institutions multilatérales de l’alimentation et l’agriculture sont dans le pétrin. Si les États et les secrétariats internationaux ne coopèrent pas, ces institutions subiront des torts irréparables : les multinationales de l’agroalimentaire et les nouveaux philantro-capitalistes vont continuer de combler le vide du pouvoir créé par les États membres de l’OCDE depuis quelques décennies.
Soumis par ETC Staff le
Dans sa quête d’un empire toujours plus vaste, Monsanto – la plus grosse semencière au monde – a annoncé hier son intention d’acheter pour 1,5 milliard $US la firme Delta & Pine Land, numéro un mondial des semences de coton établie dans le Mississipi (É.-U.). Ensemble, Monsanto et Delta & Pine Land (D&PL) contrôlent plus de 57 % du marché des semences de coton aux É.-U. D&PL a des filiales dans 13 pays, dont certains grands marchés du coton – Chine, Inde, Brésil, Turquie, Pakistan. Cette prise de contrôle assure à Monsanto une position dominante dans le commerce de l’un des produits agricoles majeurs dans le monde.Cela veut aussi dire que des millions d’agriculteurs seront soumis à des pressions encore plus importantes pour adopter les semences de coton génétiquement modifiées (GM).
Soumis par ETC Staff le
O Grupo ETC anuncia a publicação do "Manual de Bolso das Tecnologias em Nanoescala ...e a 'Teoria do Little Bang'", um guia básico de nanotecnologia - um conjunto de técnicas para manipular a materia na escala dos átomos e das moléculas (20 páginas).
Soumis par ETC Staff le
Depuis le mois de mars 1998, ETC Group (anciennement RAFI) surveille les travaux des multinationales de l'agrochimie et des semences visant à développer les semences Terminator - des plantes généticement manipulées pour que leur graines deviennent stériles (ce qui signifie que la seconde génération de semences ne germera pas).
Soumis par ETC Staff le
Le Débat des semences met les lecteurs au courant de ce qui a changé — sur le plan scientifique, politique et environnemental — depuis la publication en 1994 de Un Brevet pour la vie, un ouvrage qui a fait sa marque.
Le volume I offre aux décideurs une description claire des faits, des luttes et des discussions concernant la propriété, la conservation et l’échange des ressources génétiques. Il apprendra aux lecteurs qui abordent ces questions pour la première fois pourquoi le matériel génétique est important et pourquoi il fait l’objet de négociations commerciales intenses. Le lecteur comprendra mieux les enjeux relatifs à la propriété intellectuelle et à la sécurité aux plans national et international.